EDDA poétique : Les Dits de Rígs
Tiens-toi bien, mon pote, parce qu'on embarque dans un sacré périple. Ça s'appelle "Les Dits de Rígs", et c'est tout un bordel d'histoire. Rígs, c'est un autre nom pour Heimdall, ce vieux dieu bien tranquille qui garde le Bifröst, tu vois ?
Alors le voilà, notre Rígs, il se balade sur Terre, il visite des tas de gens. Il va d'une baraque à l'autre, il s'installe, il mange, il dort, il... eh bien, disons qu'il se mêle intimement aux dames de la maison, si tu vois ce que je veux dire. Et chaque fois, chaque putain de fois, ces dames, elles tombent enceintes. Un sacré coquin, ce Rígs, je te le dis.
Mais attends, c'est pas fini. Chaque gosse qui naît, il représente une classe de la société. Le premier, c'est le serf, le pauvre hère, l'homme de la terre. Le deuxième, c'est le fermier libre, le bonhomme indépendant. Et le troisième, c'est le noble, le guerrier, le chef. C'est comme ça, mon vieux, c'est la vie. Chacun sa place, chacun son destin.
Alors comment un érudit, un penseur, un sage pourrait expliquer tout ça ? Eh bien, il te dirait que "Les Dits de Rígs" c'est une putain de métaphore de la société, de la hiérarchie sociale. Chaque enfant de Rígs, il représente une classe de la société. Le serf, le fermier libre, le noble : c'est la base de la structure sociale.
Mais il te dirait aussi que c'est une histoire sur le destin, sur la prédestination. Chaque gosse, il est né dans une certaine classe, il est destiné à rester dans cette classe. C'est une réflexion sur la fatalité, sur l'inévitabilité.
Et puis, il te dirait que c'est une critique de la société, de l'injustice sociale. Parce que, dis-moi, c'est quoi cette histoire de naître serf ou noble ? C'est quoi cette histoire de destin tout tracé ? C'est une putain d'injustice, c'est ce que c'est.
Voilà, mon pote, c'est ça "Les Dits de Rígs". Une histoire sur la société, le destin, l'injustice. Un sacré bordel, mais un bordel qui fait réfléchir. Allez, bon courage !