La saga de Sven, rune Tiwaz

Le dix-septième acte s'ouvre sur un dilemme qui nous renvoie à la rune TIWAZ, ce grand T qui balance comme une lame de justice, symbole de Tyr, dieu guerrier, mais aussi de droit et de justice. Une balance délicate qui pourrait à tout moment basculer.

Sven, notre brave combattant, qui a vu des terres déchirées par la guerre, du sang couler, des vies se perdre, se trouve à présent face à un choix, une décision à prendre qui pourrait tout bouleverser. C'est là que la rune TIWAZ entre en jeu, dans ce choix, dans ce dilemme qui déchire le coeur de notre héros.

La situation est telle qu'un sacrifice doit être fait, une part de lui doit être offerte pour rétablir la justice, pour équilibrer la balance. C'est un choix cruel, mais c'est aussi le coût de la justice, la dure réalité de la rune TIWAZ.

Il regarde ses mains, ces mains de guerrier qui ont combattu et vaincu, qui ont protégé et tué. Il ressent le poids de ses actes, la lourdeur de ses décisions, le fardeau de sa justice. La balance de Tyr est là, en lui, dans son coeur, dans son âme, et il doit la faire pencher d'un côté ou de l'autre.

Il fait son choix, offre son sacrifice. La balance de Tyr vacille, oscille, puis finit par se stabiliser. Le coût est élevé, mais la justice est rendue. Sven, avec une détermination silencieuse, accepte le poids de son choix. Il est à la fois le bourreau et le juge, le guerrier et le justicier.

Et la rune TIWAZ continue de briller, de clignoter, rappelant que chaque acte a un coût, chaque décision un sacrifice. Sven a fait le sien, a payé le prix pour rétablir la justice. C'est ça, TIWAZ, c'est ça, la balance de Tyr. Une justice coûteuse, un choix douloureux, un sacrifice nécessaire. Sven a fait le sien, et la rune TIWAZ s'est gravée un peu plus profondément dans son âme.