Pendentif en argent 925,Sterling
Taille du pendentif: 20.4*27.5mm
poids: 2.88g
Pendentif en forme d'Arbre de Vie Viking
D'abord, il faut que je vous parle de ce pendentif, un arbre de vie en argent pur, orné de pierres de zircon cubique, d'une beauté à couper le souffle. Il était suspendu à une chaîne en argent, brillant de tous ses feux. Trois jeunes Valkyries, Freyja, Sigrun, et Brynhildr, avaient été captivées par ce bijou et, je vous le dis, elles étaient toutes tombées éperdument amoureuses de son propriétaire, le valeureux guerrier Odin.
Ah, je vous assure que l'amour fait tourner la tête, même aux plus braves ! Chacune des Valkyries voulait le cœur du guerrier et, bien sûr, le pendentif en prime. La jalousie s'était emparée d'elles comme un feu dévorant. "La jalousie est la plus folle des passions, et elle produit plus de calamités que l'amour et la haine réunis", avait écrit Jean-Baptiste Massillon. Les trois jeunes femmes se disputaient sans cesse, se lançant des regards emplis de colère.
Odin était, lui aussi, déchiré entre ses trois prétendantes. Il avait finalement décidé de mettre fin à cette querelle en organisant un tournoi. La gagnante aurait le droit de porter le pendentif et de devenir sa femme. Les trois Valkyries avaient accepté le défi, chacune espérant être celle qui gagnerait le cœur du guerrier.
Le jour du tournoi était enfin arrivé. Le combat était rude, et chaque Valkyrie utilisait toutes ses compétences et sa ruse pour vaincre ses adversaires. Finalement, c'est Freyja qui a remporté la victoire. Sigrun et Brynhildr étaient furieuses et humiliées d'avoir perdu. "La jalousie est le tyran du cœur et de l'esprit", avait dit Friedrich Nietzsche. Freyja portait fièrement le pendentif, mais elle sentait le poids de la jalousie et de la rancœur de ses sœurs sur ses épaules.
Alors que la foule acclamait Freyja, un scalde, un poète viking, s'avança et commença à réciter une poésie qui aurait pu être écrite par Charles Baudelaire s'il avait porté toute sa vie un casque à cornes :
Ô toi, Arbre de Vie en or et en argent,
Objet de convoitise, de passion et de tourment.
Toi qui attires les regards et les cœurs,
Toi qui sèmes la discorde et les rancœurs.
Trois Valkyries, belles comme le jour,
Se sont battues pour toi, avec fureur et amour.
Chacune voulait te posséder, t'avoir pour elle seule,
Et être la reine de ce cœur qui s'envole.
Mais l'amour n'est pas un objet que l'on peut posséder
, Il est un sentiment qui doit être partagé.
La jalousie est un poison qui ronge l'âme,
Et transforme l'amour en une cruelle flamme.
Alors que le scalde récitait sa poésie, les trois Valkyries se rendirent compte de la sottise de leur comportement. Elles avaient laissé la jalousie et la convoitise prendre le dessus sur leurs sentiments. Elles se regardèrent, les larmes aux yeux, et se prirent dans les bras. Le pendentif n'avait plus d'importance, ce qui comptait, c'était leur amour fraternel.
Freyja retira le pendentif de son cou et le donna à Odin. "Je n'ai pas besoin de ce pendentif pour savoir que tu m'aimes", lui dit-elle. "L'amour n'est pas un objet que l'on peut posséder, il est un sentiment qui doit être partagé", répéta-t-elle les paroles du scalde.
La foule acclama les trois Valkyries, qui avaient appris une leçon importante sur l'amour et la jalousie. Elles avaient compris que l'amour n'est pas une compétition, mais un partage, et que la jalousie est un poison qui ronge l'âme. Elles avaient appris que le véritable amour est inconditionnel et ne demande rien en retour.
Odin prit le pendentif et le jeta dans la mer. Les vagues l'emportèrent loin, loin au large, où il disparut à jamais. Les trois Valkyries et Odin se prirent dans les bras et regardèrent le soleil se coucher sur l'horizon. Ils avaient appris une leçon importante sur l'amour et la jalousie, et ils savaient que leur amour fraternel était plus précieux que tous les trésors du monde.