Pendentif en acier inoxydable
WULFGAR et le Poids du Marteau : Ombres du Nord
Wulfgar, rien qu'à prononcer son nom, on sentait le poids du respect, la gravité de la chose, l'empreinte du nord. Dans ces terres où le vent cinglait les visages et où le sel marquait les peaux, où les histoires se racontaient autour de feux timides et d'alcools forts, son nom était une légende. Pas le genre de légende qu'on raconte pour épater la galerie. Non, plutôt celle qu'on murmure, avec une pointe d'envie et une rasade de respect.
Le gus n'était pas qu'un bout de muscle avec une hache, hein. Il incarnait quelque chose de plus, quelque chose de grand, d'immense. Dans le monde viking, où le courage était monnaie courante et où la bravoure était le ticket d'entrée, Wulfgar était le roi incontesté. Pas parce qu'il pouvait trancher dix têtes en un seul mouvement, même si, entre nous, il en était bien capable. Non, c'était à cause de ce qu'il portait autour du cou : un pendentif du Marteau de Thor, scintillant, couleur argent. Pas une imitation, non, le vrai truc, avec le poids de l'histoire et le sérieux de la chose.
Nul autre que lui ne méritait autant de le porter. Parce que Wulfgar, voyez-vous, il n'était pas juste un guerrier. Il était l'incarnation des valeurs de ce foutu marteau. L'honneur, la force, la détermination, la fidélité... Tout ce qui fait un homme, un vrai. Pas une caricature.
Dans les tavernes, quand les types avinés se mettaient à déblatérer, à raconter leurs exploits, leurs amours, leurs regrets, le nom de Wulfgar revenait toujours. Et chaque fois, c'était avec une pointe de respect, un silence complice, une gorgée d'hydromel en son honneur. Parce que tout le monde savait, tu vois. Ils savaient que ce mec, avec son pendentif brillant, représentait quelque chose de plus grand que lui, plus grand que tous.
Le Marteau de Thor, ce n'était pas juste un bout de métal. C'était un symbole, un idéal, un rêve. Et Wulfgar, avec sa stature imposante, ses yeux perçants, son sourire rare mais sincère, il était ce rêve incarné. Dans un monde de brutes, de guerres, d'amours et de trahisons, il était le phare, l'étoile du nord, l'espoir que, peut-être, un jour, tous pourraient porter ce marteau avec autant de dignité et de fierté que lui.