La saga de Sven, rune Mannaz
Et voilà, on tape dans le vif du sujet, MANNAZ, l'homme, la communauté, tout le tralala. Sven, le guerrier, le père, le frère d'armes, voilà qu'il est propulsé au-devant de la scène, qu'il devient le leader, le guide, le chef.
Lui, le solitaire, l'homme du Nord, l'homme des glaces, le voilà obligé de s'occuper des autres, de comprendre leurs problèmes, leurs espoirs, leurs craintes, de diriger les gens, de les guider, de les protéger.
Il y a des hommes, des femmes, des enfants, des vieillards. Il y a des guerriers, des fermiers, des pêcheurs, des forgerons. Il y a tout un monde, une communauté, un peuple, et il doit s'en occuper.
C'est pas simple, c'est même sacrément compliqué. Il faut être juste, il faut être fort, il faut être sage. Il faut comprendre les gens, il faut les écouter, il faut les aider. C'est un rôle difficile, c'est un rôle écrasant, mais c'est un rôle qu'il doit assumer.
Il y a des moments difficiles, des moments de doute, des moments de peur. Il y a des moments de joie, des moments de fierté, des moments de victoire. C'est tout ça, MANNAZ, c'est tout ça, la communauté, c'est tout ça, l'homme.
Sven, notre Sven, le voilà propulsé dans ce tourbillon, ce maelström de la communauté, ce vortex de la vie, ce cyclone de l'homme. Il doit apprendre à diriger, il doit apprendre à comprendre, il doit apprendre à être un homme parmi les hommes, un leader parmi les leaders, un chef parmi les chefs.
Et il y arrive, à force de courage, de détermination, de volonté. Il y arrive, parce qu'il est Sven, le guerrier du Nord, le père, le frère d'armes, le leader. Il y arrive, parce que c'est lui, MANNAZ, l'homme, la communauté.