BRACELET VIKING
Bracelet viking, bijou nordique
Ah, les grands âges vikings, ça ne rigolait pas, hein ! Les hommes, les femmes, tous bardés de fer, de clinquant, ça flamboyait de partout… Des bracelets, des bagouses, des colliers, des épingles à cheveux, même des bijoux pour les barbes, t’imagines ?! C’était pas pour rien tout ça, non, c’était pour montrer qui commandait. C’était l’ornement qui parlait pour toi, la matière qui criait ton rang, ton pouvoir, ta place dans la mêlée.
Mais parmi tout ça, y en avait un, un bijou, plus important que les autres, le bracelet ! Ah, le bracelet, c’était pas n’importe quoi, ça avait du poids, du sens, un symbole sacré ! Ils les faisaient avec ce qu’ils trouvaient, du verre, de l’ambre, du bronze, de l’étain, de l’or, de l’argent… Et les formes ! Ah ! Les formes, elles venaient de loin, des dieux, des vieilles légendes, c’était sculpté, façonné avec soin, pas de hasard là-dedans. Chaque matière, chaque courbe, c’était choisi pour dire quelque chose de celui ou celle qui le portait. C’était du sérieux, du mystique presque… Oui, c’était le bracelet qui parlait pour toi, qui disait qui tu étais vraiment, jusqu’au fond de tes os.
Lanières de bracelet ...
Ah, les lanières, tu vois, des bracelets… c'était pas juste des bouts de cuir comme ça, non ! C'était tressé, enlacé, travaillé, du fin boulot… Avec des bouts de métal greffés dessus, gravés, ciselés, comme s'ils te murmuraient des histoires à l’oreille, des légendes… Des bêtes féroces, des monstres du grand nord ! Le loup Fenrir, qui te bouffe le monde entier… Le serpent Jormungand, qui fait le tour de la terre… Les corbeaux, Hugin et Munin, les espions d’Odin, ceux qui voient tout, savent tout… Et puis l’ours, hein, l’animal des berserkers, ces fous furieux qui se jetaient dans la bataille comme des damnés !
Ah, et les symboles, les grands, ceux qui claquent, qui t'envoient dans les tripes ! Le valknut, la marque des guerriers morts, l’Aegishjalmur, l'illusion des peurs, le Vegvisir, la boussole magique… Et Gungnir, la lance d’Odin, celle qui ne manque jamais sa cible… Thor et son marteau, ça tu le sais, ça fracassait les crânes d’un coup, boum ! Et les haches, ah, les haches… Pas juste des outils, des armes, oui, mais plus que ça, des symboles, des promesses de sang et de gloire. Tout ça, gravé dans les bracelets, ça te portait, ça te parlait, et c'était là, au poignet, prêt à tout.
Le bracelet utilitaire
Au début, tu vois, c’était pas si compliqué, le bracelet, c’était pratique avant tout. Une simple lanière, ouais, dans laquelle les Vikings enfilaient des bouts de pierre, de métal précieux, tout ce qu’ils pouvaient trouver. Ça leur servait de coffre-fort portatif, tu vois ? Toujours à portée de main. Pas besoin de coffre-fort, là-bas, dans la neige et la mer déchaînée… Quand ils avaient besoin de payer quelque chose, hop, ils décrochaient leur lanière, arrachaient un morceau et voilà, c’était réglé. Le bracelet, au fond, c’était juste un porte-monnaie, une bourse attachée au poignet.
Mais, bien sûr, avec le temps, ça a pris une autre tournure… Parce que tu imagines bien, hein, à force de montrer sa richesse autour du poignet, ça devenait un signe, une façon de se la jouer, de faire voir à tout le monde ce que t’avais dans les tripes… ou plutôt dans la bourse ! Plus t’avais d’or, plus t’étais riche, et ça se voyait ! L’or et l’argent, ça brillait autour des poignets des grandes familles, des chefs, des seigneurs… Pendant que les autres, les pauvres diables, eux, ils se contentaient de bronze, d’étain, des métaux moins clinquants. Mais bon, tout ça, c’était déjà une histoire de rang, de statut, avant même de dégainer l’épée…
Reconstitutions des bracelets vikings
Les bracelets qu’on vous propose, c’est comme s’ils revenaient d’outre-tombe, des âges anciens, des temps vikings, quand ça cognait dur, quand ça croyait fort. Pour ceux qui se sentent happés, fascinés par ce monde de brutes élégantes, cette civilisation du Nord pleine de saga et de dieux en colère, ces bracelets, ils vont vous parler, vous plaire. C’est plus qu’un bout de ferraille ou de cuir, non, non. Si vous y mettez un peu de foi, comme eux, les Vikings, vous allez y voir des vertus, des forces, des pouvoirs presque. Parce que pour ces types-là, les bracelets, c’était pas juste pour frimer, c’était chargé de sens, avec une âme à l’intérieur, une âme de guerrier, prête à conquérir, à se battre, à prier les dieux quand il le fallait… Oui, une âme, rien que ça !
Ces bracelets, c’était comme une seconde peau pour eux, les Vikings. Ça imprégnait leur vie de tous les jours, comme un tatouage au poignet, un truc qui te suivait partout. C’était du sérieux, de l’original, même s’ils avaient piqué des symboles à droite à gauche, aux Celtes, aux vieilles tribus germaniques… Mais bon, tu sais ce que c’est, hein, y a jamais rien de vraiment nouveau, tout se refile de siècle en siècle, toujours un peu pareil, toujours un peu différent…
Ce qui est sûr, c’est que ces bracelets, c’était pas juste pour faire joli ou montrer son fric. Les symboles qu’ils portaient, ça, c’était de la magie pure, de la vraie ! Ça te donnait la force, le courage, l’honneur, la chance. Et surtout, ça t’apportait la protection des dieux, des vrais, ceux du Nord, ceux qui frappaient avec des éclairs et des marteaux géants. Le truc, c’est que ces symboles, enroulés autour du poignet, c’était pas un hasard. C’était là, au plus près de la main, pour guider chaque geste, chaque coup, chaque décision. Un peu comme si les dieux eux-mêmes te tenaient la main.
Bracelet d'homme
Dès qu’ils sont hauts comme trois pommes, les gamins vikings, on les met au boulot, hein, pas de chichis ! Ils bossent dans les champs, ils s’occupent des bêtes, ils apprennent vite, la terre sous les ongles, le dos courbé. Mais ça suffit pas, non, faut aussi qu’ils s'entraînent à manier l’épée, la hache, le bouclier… Parce qu’ici, c’est pas la tendresse qui compte, c’est la force, c’est la guerre, la vraie, celle qui éclate partout, tout le temps. Alors quand ils ont l’âge, enfin, quand on juge qu’ils sont prêts, là, il faut qu’ils passent l’épreuve. Le grand saut, l’initiation…
Et ça, c’est pas une partie de plaisir. D’habitude, c’est la chasse, une bête sauvage, un monstre des bois, un truc dangereux, un truc qui te boufferait en deux crocs si t’es pas assez rapide. Le môme, il est seul face à ça, pas de papa, pas de maman, juste lui et son arme, et ses tripes… Il a été préparé des années pour ce moment, mais tout le monde le sait : c’est là, là maintenant, qu’il va savoir s’il est vraiment un homme. La peur, elle est là, elle te ronge, te bouffe, mais faut la vaincre. Si t’y arrives, si tu t’en sors, alors t’es un homme, un vrai, un dur.
Et là, le père, fier comme un coq, il te file le bracelet sacré. Pas juste un bijou, non, un symbole, une promesse. C’est plus qu’un bout de métal, c’est le lien avec tes ancêtres, avec les dieux. C’est le signe que t’as réussi, que t’es devenu quelqu’un.
Bracelet clanique
Le gamin, une fois qu’il est passé de l’autre côté, qu’il a fait son épreuve, qu’il est devenu un homme, là, ça change tout. Il fait partie du clan maintenant, il est des leurs. Et ça, ça se voit direct : chacun porte un bracelet, ouais, mais pas deux pareils, tu vois. Chaque bracelet, c’est unique, comme l’homme qui le porte, mais y a toujours un petit truc, un détail qui te dit : "Lui, il est des nôtres". Un symbole, un signe, quelque chose gravé là, qui te relie au groupe, à la famille, au sang.
Ça peut être l’arbre sacré, Yggdrasil, celui qui tient le monde entier, ou bien le nœud des occis, pour se souvenir de ceux qui sont tombés. Ou encore un autre signe, choisi par le clan, sous la protection duquel ils se placent tous. C’est pas juste un gribouillis, non, c’est du sérieux, c’est leur façon de dire : "On est ensemble, on est unis, et on se battra pour ça".
Le bracelet viking personnalisé
Pour les grands, les vrais, ceux qui comptent, les jarls, les rois, les guerriers de renom, le bracelet, c’est pas juste un bijou. Non, non, c’est du sur-mesure, du personnalisé à fond. Il raconte des histoires, le bracelet, pas n’importe lesquelles : celles de son porteur. Là-dessus, tu peux voir gravé son passé, tout ce qu’il a fait, ses victoires, ses batailles… Et même ce qu’il rêve d’accomplir, ses ambitions, ses désirs de gloire. Les runes, les symboles, tout est savamment arrangé, rien n’est laissé au hasard. C’est pas juste de la décoration, c’est du sens pur, des promesses gravées dans le métal.
En fait, ce bracelet-là, c’est un peu comme les chevalières des nobles, tu vois ? Ça scelle tout, ça dit qui t’es, ce que tu vaux, et surtout ce que tu vas devenir.
Le bracelet de force
Au départ, tu vois, le bracelet de force, c’était pas pour faire joli. Non, c’était du costaud, du pratique. Le viking, il le mettait pour tenir son poignet quand il devait trimer dur, soulever, tirer, pousser, tous ces trucs qui te bousillent les os. Ça tenait la charpente, en quelque sorte. Mais voilà, à force, ça a fini par se retrouver sur les champs de bataille. Le bracelet, il est devenu une manchette, un truc solide qui protégeait le bras quand ça cognait sec. Le guerrier, il pouvait manier sa hache, son épée, avec plus de précision, plus de force, sans se démonter le poignet à chaque coup.
Et maintenant, bah, c’est revenu à la mode. Pas pour les mêmes raisons, bien sûr. Les gens aiment le style, l’esthétique, la symbolique. C’est un bout d’histoire qu’ils portent, une façon de dire "je suis un dur", même si c’est juste pour frimer. Mais malgré tout, ça reste utile, ça tient encore bien le poignet, comme à l’époque. Le viking, lui, il savait ce qu’il faisait.
Un bracelet nordique pour homme fort
Frédéric, c’est pas un viking, non… rien de tout ça, pas de hache, pas de drakkar, il est de maintenant, lui, un homme bien d’aujourd’hui, moderne qu’on dit. Il a un boulot, ouais, il écrit des bouquins. C’est son truc, ça le fait tenir. Une femme, un môme, tout bien rangé, comme il faut. Mais voilà, Frédéric, il a aussi une sorte de marotte, un truc que certains appelleraient une folie douce, une lubie quoi. Il fait de la musculation, et pas à moitié ! Sérieux, régulier, presque religieux, comme une prière de tous les jours. Pour lui, c’est pas que des muscles, non, c’est une école, celle de la vie. T’y crois ou t’y crèves. Tu bosses dur, longtemps, sans jamais lâcher, sinon tu restes sur le carreau. Et il les porte, ses poignets de force, souvent… comme un rappel, une trace de ces vieux guerriers, ceux qui savaient, eux, ce que ça voulait dire, la vraie lutte, l’effort pour de vrai.
Un bracelet qui renforce le poignet
Aujourd'hui, avant de soulever des haltères, Frédéric se concentre en mettant rituellement des bras de force à ses poignets. Ce n'est pas pour ce faire remarquer, cela lui vaux plutôt des critiques et des moqueries... Sur ces bras de force préférés certains ont des signes vikings. A la salle, y'en a qui prennent Frédéric pour un guignol, un immature jouant encore au viking alors qu'il a bientôt 39 ans. Mais ils s'en fout, de la fonte, il en soulèvera beaucoup plus lourd qu'eux. Ces bracelets de force et bien, de la force ils lui en donne réellement, c'est surement pour ça qu'on les appelle ainsi. Surtout, physiquement, ils soutiennent ses poignets et les maintiennent dans l'axe de la main. Le corps humain est chose complexe, les gens qui pratique la musculation le savent bien. Il y a chez eux eux plus de sagesse qu'on ne se l'imagine. Ils dépasse chaque jour leur limite physique d'hier. Mais il ne faut pas aller trop loin, risquer la rupture. Il faut se faire mal mais il faut se protéger. C'est un équilibre à trouver.
Le poignet de force pour les guerriers vikings
Le bracelet de force protège le poignet, c'est pourquoi on l'appelle aussi poignet de force. Pour les viking dans la mêlée, il fallait limiter l'impact des coups portés au poignet qui tient l'épée. De plus main et poignet devaient être en parfaite harmonie pour que chaque coup de lance ou de glaive atteigne sa cible. Voilà pourquoi eux aussi la portaient cette manchette qui protège et arme la main. Elle a aujourd'hui bien d'autres applications dans la vie des hommes modernes qui gardent en eux la nostalgie des glorieux Ages Vikings où la sagesse se confrontait durement à la réalité. On philosophait l'épée à la main, Socrate était aussi un guerriers sanguinaire si l'on remonte encore plus loin... Imagine-t-on Tyr, Odin ou Thor sur le champ de bataille sans de solide bracelets de force soutenant leur mains qui lançait sur leurs ennemis les géants, la foudre et l'éclair que le tonnerre répercutait sur la Terre toute entière.
