17 : Ivar le Désossé, Le Serment des Damnés
Dans cette épopée infernale, Ivar le Désossé, il se dressait comme un titan, un monument de révolte dans la tempête des dieux. C'était un combat de chaque instant, une guerre sans merci contre les maîtres de l'olympe.
Eva, la Valkyrie, elle planait dans ce tumulte, une présence rassurante, un guide dans l'obscurité. "Reste vaillant, Ivar," qu'elle lui soufflait, sa voix un phare dans la nuit. "Ton combat, c'est le serment des damnés, la promesse d'une aube nouvelle."
Les dieux, ces vieux seigneurs arrogants, ils étaient secoués dans leurs fondements. Odin, le vieux guerrier à l'œil unique, il grondait dans son royaume ébranlé. "Ce foutu Ivar, il nous défie," qu'il marmonnait, sa rage faisant trembler les étoiles.
Ivar, il était une force de la nature, un déluge d'acier et de fureur, un bras armé de vengeance. Chaque assaut était un défi, une résistance contre l'oppression céleste, une lutte pour la libération.
Et ce guerrier, avec son aura sombre, il inspirait la crainte même aux immortels. Il menait son armée d'ombres dans un ballet de destruction, une symphonie de la révolte, un chant de guerre contre l'injustice.
Eva, avec sa grâce divine, elle était la muse de cette insurrection, la voix qui guidait Ivar à travers les périls. "Tu es le souffle qui attise les flammes de la rébellion," qu'elle lui murmurait, ses yeux étincelants de détermination. "Tu es le porteur de l'espoir des oubliés."
Les dieux lançaient contre lui leurs légions maudites, des armées de cauchemars, des orages de désespoir. Mais Ivar, inébranlable, affrontait ces terreurs avec une rage sans limite, un esprit indomptable face à l'adversité.
Chaque confrontation, chaque épreuve, c'était une étape de plus dans cette révolte, un cri de guerre pour la liberté, une résonance de défi dans le vide des cieux. Ivar était devenu le symbole de la résistance, le héraut des damnés, le guerrier de l'espoir.
Et tandis que ce dix-septième chapitre de la saga d'Ivar le Désossé se dévoilait, une question tenace persistait : cette lutte contre les dieux, ce serment des damnés, allait-il bouleverser l'ordre divin, ou n'était-ce qu'un écho dans le néant d'un combat perdu d'avance ? Le destin, ce vieux maître de l'illusion, gardait ses réponses voilées.
Laurent Chapelon