8 : Ivar le Désossé, L'Orage des Dieux
Ivar le Désossé, il était maintenant en pleine bourrasque, bordel, en plein dans le maelström, avec les dieux qui déchaînaient sur lui toute leur furie. C'était plus qu'une lutte, c'était un putain de cataclysme, un affrontement titanesque entre un homme et l'olympe tout entier.
La Valkyrie Eva, elle était là, fidèle au poste, un roc dans cette tempête démente. Elle le soutenait, le guidait, comme une étoile dans la nuit de cette guerre. "Tiens bon, Ivar," qu'elle lui soufflait, sa voix un phare dans cette mer déchaînée. "T'es la tempête qui peut tout balayer."
Les dieux, ces foutus despotes célestes, ils étaient en pétard, complètement furax. Odin, le chef de bande, il faisait gronder le ciel, lancer des éclairs, comme pour mater ce petit insolent d'Ivar. "On va te broyer, gamin," qu'il hurlait depuis son trône, la colère faisant trembler les cieux.
Ivar, il était pas impressionné, non, il se battait avec une rage décuplée. Chaque bataille, c'était un défi de plus lancé à ces tyrans du ciel, une marque de son indomptable volonté. Les champs de bataille étaient des ouragans de fer et de feu, des tourbillons de mort et de destruction.
Et chaque victoire d'Ivar, chaque défaite des dieux, c'était un coup porté à leur arrogance, une fissure dans leur façade d'invincibilité. Le gars, il se battait pas seulement pour lui, il se battait pour tous ceux écrasés sous le joug divin.
Eva, la Valkyrie, elle le voyait grandir, devenir plus que lui-même, un symbole, une légende vivante. "T'es le feu qui brûle leur orgueil," qu'elle lui murmurait, ses yeux plein d'une fierté sauvage. "T'es celui qui peut changer les règles du jeu."
Les dieux, ils balançaient contre lui leurs pires fléaux, des tempêtes de neige, des dragons cracheurs de feu, des légions de spectres. Mais Ivar, avec son armée de révoltés, il tenait bon, un roc face à l'avalanche, un feu ardent dans la tempête.
Chaque coup d'épée, chaque cri de guerre d'Ivar, c'était un hymne à la liberté, un refus de se soumettre. Il était devenu le marteau qui frappait sans relâche sur l'enclume des dieux, façonnant un nouveau monde, un monde où même un mortel pouvait défier l'éternité.
Tandis que ce huitième chapitre se déroulait, une question brûlait plus fort que jamais : Ivar, ce guerrier acharné, allait-il renverser le panthéon, ou était-il destiné à être écrasé sous le poids de sa propre rébellion ? La réponse, elle était quelque part dans le fracas de l'orage, dans le souffle du vent qui portait son cri de guerre.