Pendentif viking triquetra runes

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    Pendentif en acier inoxydable

     

    Les Médaillons de Légende : Les Récits d'un Joaillier

    C'est qu'on avait attendu ces saloperies de médaillons, hein ? Oh la vache, que oui ! Toute cette attente pour un bout de ferraille... Mais quelle ferraille ! Le boulot de l'artisan, c'était pas du p'tit boulot de pacotille, non monsieur ! C'était du labeur, du vrai, du costaud, fait à la sueur de son front. Le genre qui donne envie de choper ce bijoutier par le col et de lui foutre deux bises bien sonores sur chaque joue.

    marché viking

    On avait le choix, voyez-vous. Prendre le truc tout seul, à poil, ou avec sa chaînette. Moi, je m'en fous un peu, mais y en a, ils ont des préférences, ces coquins. Chacun son truc, hein ? La pièce qui faisait fureur ? Ah, celle-là, mon gars, c'était une beauté ! La triquetra, entourée de ces runes, comme un halo mystique autour d'une déesse. Ça avait de la gueule, je vous le dis !

    l'atelier de l'artisan joailler viking

    Et l'artisan, le gaillard, il avait toujours un mot à la bouche, une histoire, une légende à raconter. Fallait le voir s'animer, ses yeux qui brillaient, ses mains qui gesticulaient comme des araignées excitées. "Vous voyez cette triquetra ? Trois coins, trois points, tout un symbole ! Ça parle de la vie, de la mort, de la renaissance. C'est le cycle, monsieur ! Et ces runes ! Oh la la, une histoire, une sagesse ancienne, un message d'au-delà !"

    Il était bon, ce bougre. Il vendait pas qu'un bout de métal, non. Il vendait du rêve, de la légende, un bout d'éternité qu'on pouvait accrocher à son cou. Et les gens, ils écoutaient, bouche bée, hypnotisés, déjà en train d'imaginer les aventures, les batailles, les amours, que ce pendentif avait dû voir.

    Alors oui, on peut dire qu'il avait bien bossé, ce joaillier. Il avait donné à ces médaillons une âme, une histoire, une raison d'être. Et nous ? On en redemandait, encore et encore.