Pendentif en acier inoxydable
HAKON : Sous le sceau du marteau de Thor
Là-bas, dans les contrées où les vagues noires griffaient le ciel, HAKON, rien que son nom, c'était une mélodie. Une mélodie qui faisait taire les larmes des veuves et le brouhaha des tavernes. On raconte des tas de choses, souvent du vent, souvent du bruit. Mais lui, HAKON, c'était autre chose. Un roi, ouais, mais pas n'importe lequel. Le genre qu'on respecte sans qu'il ait besoin de hurler. Le genre qui pèse, qui compte, qui marque.
Autour de son cou, scintillant comme une étoile arrachée au firmament, pendait le marteau de Thor. Pas en fer, ni en argent, non. Couleur or. Tu imagines le truc ? Brillant, éblouissant, intimidant. C'était pas juste un bijou, non. C'était un symbole. Tout HAKON en un bout de métal. Sa force, son honneur, sa droiture. Tout ce qui fait un homme, un roi. Le genre qui se couche pas devant la première tempête, qui regarde la mort dans les yeux sans ciller.
Chaque fois qu'il entrait dans une pièce, ce foutu pendentif hypnotisait tous les regards. Parce qu'il n'était pas qu'un simple morceau de métal. Il portait avec lui toutes les qualités de HAKON, tout ce qui faisait de lui le roi le plus respecté. On ne s'agenouillait pas devant l'or, mais devant l'homme qui le portait.
Les soirées dans les halls étaient souvent bruyantes, animées, pleines de chants et de danses. Mais dès que HAKON prenait la parole, tout se taisait. Pas par peur, non. Par respect. Par admiration. Chacun de ses mots pesait, chacun de ses gestes comptait. On sentait, tu vois, que derrière ce roi se cachait quelque chose de plus grand, de plus puissant. Quelque chose qui venait de l'au-delà, du cosmos, des dieux eux-mêmes.
Dans les ruelles sombres, dans les forêts épaisses, dans les montagnes inhospitalières, on parlait de lui. Pas en mal, non. Même les envieux, même les jaloux, même les traîtres reconnaissaient sa grandeur. Parce que HAKON, avec son marteau de Thor, il était la preuve vivante que la noblesse, la grandeur, la vérité, ça existe encore. Et que, malgré les ombres, malgré les trahisons, malgré les tempêtes, il y aura toujours une lumière, un guide, un roi, quoi!