Manches courtes
Matière poluester
Col rond
Visuel en impression digitale
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Ah les loups, pas étonnant, non, pas étonnant du tout que les Vikings, les rudes barbares du Nord, ces féroces navigateurs des mers glacées, les adoraient, les vénéraient, les plaçaient haut, tout haut dans le grand panthéon des bêtes sacrées, des esprits tutélaires. Tu vois le loup, la bête de la toundra, aux yeux de braise, aux crocs acérés comme des lames de glace, tu le sens le frémissement, le frisson sauvage qui parcourt son échine agile, qui fait danser sa queue telle une flamme dans le vent du Nord ?
C’est un symbole, un sacré symbole le loup pour les Vikings, l’incarnation même de la force indomptée, de la bravoure farouche, de la liberté effrénée qui court, qui court comme le vent sur les plaines infinies, qui galope comme un cheval fou sur les vagues tumultueuses des mers déchaînées.
Les Vikings, ces rudes gaillards, aux barbes drues, aux regards d’acier trempé, aux mains calleuses, voyaient dans le loup un frère d’armes, un compagnon d’aventure, un guide dans les chemins tortueux de la vie et de la mort, dans les sentiers escarpés du destin. Ils le sentaient le loup, ils le sentaient battre en eux, hurler en eux, ils le sentaient vibrer dans leurs veines, pulser dans leurs cœurs, embraser leurs âmes de guerriers indomptables, de conquérants intrépides.
Et dans la grande danse cosmique des mondes, sous le regard impassible des étoiles, sous le souffle frissonnant des comètes, le loup et le Viking, unis, fusionnés dans le grand tourbillon de la vie, s’élancent, s’élancent ensemble dans la quête éperdue de la gloire, de l’honneur, de l’immortalité. Ah les loups, les loups des Vikings, c’est pas des chimères, c’est pas des ombres, c’est la chair même, le sang même, l’âme même de ces guerriers du Nord, de ces enfants des tempêtes et des éclairs.